• La collection assises englobe des livres dans lesquels sont rédigés, presque à la manière d'une pièce de théâtre, les grands procès français dans leur intégralité. Ce sont des livres qui permettent au lecteur de se plonger dans les tréfonds des personnalités des accusés, grâce aux interventions de divers experts.

     

    En 1989, Patrick Dils est condamné pour les meurtres d'Alexandre et Cyril, en 1986, avant que qu'il ne soit acquitté en 2002 et que Francis Heaulme soit à son tour condamné.

    Retrouvez l'intégralité du procès de 2018 dans ce livre de 246 pages pour 12,50e.

     

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    Extrait pages 155 et 156 :

    - Monsieur Heaulme, qu'avez-vous à dire à la suite de ce témoignage ? Demande le Président.

    - J'en ai marre des histoires entre détenus.

    - Monsieur Grégoire signale en 2002 que vous auriez baissé le froc du plus grand, selon son expression. Et effectivement, la presse n'avait pas fait état du plus grand ou du plus petit. Cela correspond aux constatations. Avez-vous donné cette information ?

    - Non.

    - Lui avez-vous parlé de Montigny ?

    - Oui. Mais je n'ai jamais parlé de baisser le froc. Je n'ai jamais joué aux échecs, c'est faux.

    - Certes, les échecs, ce n'est pas le plus important. Comment avoir pu dire que le froc du plus grand était baissé ?

    - M'en rappelle plus.

    - Vous lui avez parlé d'un couteau. C'est juste ?

    - Je sais que j'avais un Opinel. Mais je ne sais pas si je lui ai parlé de ça.

    - Cet Opinel est confirmé par l'ancien directeur d'Emmaüs. Il dit qu'il est cassé. Comment, en 2002, Monsieur Grégoire peut-il savoir pour l'Opinel ?

    - Je ne sais pas. C'est un coup monté.

    Mais de qui ?

    - De la presse... »

     

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  • La collection assises englobe des livres dans lesquels sont rédigés, presque à la manière d'une pièce de théâtre, les grands procès français dans leur intégralité. Ce sont des livres qui permettent au lecteur de se plonger dans les tréfonds des personnalités des accusés, grâce aux interventions de divers experts.

     

    En 2013, Cécile Bourgeon, maman de Fiona et enceinte, pleure devant les caméras de télévision, suppliant qu'on lui rende sa fille, Fiona. En réalité, Fiona n'a pas disparue. Elle a été tuée par le couple constitué de sa mère et de son beau-père. Le corps de la petite n'a jamais été retrouvé.

    Vous pouvez vous plonger dans ce procès grâce à ce livre de 146 pages pour 9,30e.

     

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    Extrait pages 87 et 88 :

    Berkane Makhlouf répète qu'il a vu Cécile Bourgeon donner deux claques et deux fessées à Fiona : « C'était en fin d'après-midi, avant ou après le repas du soir, je ne sais plus.

    Il dit que j'ai donné une claque sur le côté gauche alors que je suis droitière... Répond Cécile.

    - La baffe aurait pu être donnée en revers, dit le Président.

    J'étais une mère qui laissait passer beaucoup de choses. Il y a une maman qui gardait Fiona de temps en temps, elle me disait qu'il fallait que je sois plus sévère avec ma fille, parce qu'elle se foutait de moi. Elle ne me respectait pas.

    - J'aimerais revenir à Fiona. Parce que vous parlez beaucoup de vous, mais pas beaucoup de Fiona, dit Maître Portal.

    - Wow, c'est pas parce que votre collègue c'est l'avocat d'une dame qui congèle ses bébés, et qu'il défend des pointus, qu'il faut être comme ça avec moi.

    - D'accord. Je souhaite revenir à Fiona.

    - J'ai donné tout ce que je pouvais. Là, j'en ai marre. J'en ai marre.

    - Mais vous ne voulez pas parler des bisous que vous avez donné à votre fille ,ce jour-là ? Des paroles douces ?

    - Mais ça, c'est entre moi et ma fille. Ce sont des moments privés.

    - Mais vous êtes au courant que ces moments privés, Madame Bourgeon, ont mené au décès de votre fille ? »

     

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  • La collection assises englobe des livres dans lesquels sont rédigés, presque à la manière d'une pièce de théâtre, les grands procès français dans leur intégralité. Ce sont des livres qui permettent au lecteur de se plonger dans les tréfonds des personnalités des accusés, grâce aux interventions de divers experts.

     

    Le 28 octobre 2017, Jonathan Daval est inquiet de ne pas voir revenir sa femme, Alexia, de son jogging matinal. La disparition est signalée à la gendarmerie vers 12h30.

    Le corps de la jeune femme est retrouvé, en parti calciné, le 30 octobre 1017.

    Jonathan Daval a attendri la France entière, peiné par la perte de sa femme, jusqu'à ce qu'on ne découvre qu'il était l'auteur du meurtre.

     

    Retrouvez l'intégralité du procès dans ce livre de 180 pages pour 10,50e.

     

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    Extrait pages 98 à 100 :

    - On est à 23h30, vous partez de chez vos beaux-parents. Reprenons de là. Je vous laisse la parole, essayez d'être plus détaillé, de toute façon il faudra l'être de plus en plus.

    - Je vais essayer. On est rentré, on est monté à l'étage. Je me suis servi un digestif, tout allait bien.

    - Pourquoi vous servez-vous un digestif en rentrant ?

    - C'était pour retarder mon coucher.

    - Vous vouliez fuir votre épouse ?

    - Oui. Alexia revient au salon, me propose une relation, je dis non, elle me fait des reproches, je souhaite fuir comme d'habitude et elle me dit qu'elle aurait dû s'occuper d'elle. Je prends les clés pour partir de la maison, elle veut m'en empêcher et là...

    - Quand elle vous propose une relation sexuelle, comment le dit-elle ?

    - Elle dit « Je veux une relation sexuelle ». Nos relations se sont beaucoup dégradées après le mariage. Ce soir-là je ne suis pas d'accord pour une relation. Je savais que je n'allais pas pouvoir combler ma femme. Ce n'était pas comme ça avant. Avant, il y avait de l'envie.

    - Est-ce que c'est une approche amoureuse ? 

    - Non, c'est juste qu'il fallait une relation. Elle m'en voulait, elle s'est fâchée, elle m'a reproché de ne pas m'occuper d'elle et de m'occuper davantage des autres. C'est vrai que j'ai aidé à la cuisine chez mes beaux-parents, par politesse et pour faire plaisir aux gens. C'était dans ma nature de toujours faire en sorte d'être serviable. Ce n'était pas la première fois qu'Alexia me faisait ce reproche. Quand elle me faisait des reproches, j'acquiesçais, je ne disais rien.

    - Revenons au 27 octobre. Elle vous fait des reproches.

    - J'essaie de partir de la maison, pour éviter de nouveaux reproches en me disant que je ne la désire pas, que je ne veux plus d'elle. Je voulais fuir de nouvelles humiliations. Ça m'était déjà arrivé par le passé, j'allais me réfugier chez ma sœur ou chez mes parents.

    - Et ?

    - De temps en temps, je me réfugiais au boulot aussi. Ou je disais que j'étais au boulot, mais j'allais voir mes parents. Ma mère, j'avais besoin de la voir et j'ai menti à mon employeur en lui disant que j'y allais au lieu de travailler parce qu'elle avait une machine pour l'aider à respirer, pour soigner son asthme. En vrai, c'était pour manger avec mes parents.

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  • ici : Lulu.com

     Retrouvez un extrait de mon livre autobiographique : 

    Les premiers jours du reste de ma vie Amnésie

    Un vide s'empare de moi à cet instant, et comme bien souvent, je me retrouve alors plongée dans le noir le plus complet. Où sont-ils ? Où se sont oubliés mes souvenirs ? 

    Ce trou béant s'ouvre brutalement lorsque le soleil s'en va vers l'ouest. La lune se montre et éveille de ses rayons les pensées que je n'ai plus. Elles me parlent, mais je ne les comprends pas. C'est à peine si je les entends. Presque inaudible, je perçois cependant, un lointain murmure.

    Ce sont des images en flou gaussien qui se dessinent et se brouillent, comme une feuille de papier que l'on froisse. Quelques ombres, des reflets légèrement parfumés des senteurs que j'ai connus, mais rien de précis. M'apparaît parfois, en un éclair, aussi bref qu'un coup de tonnerre, une impression de quelque chose que je ne sais décrire. Et, alors que je crois parvenir à la saisir, elle s'évapore, encore plus vite qu'elle n'est apparue. 

     

    Une mère alcoolique, mal-aimante, psychologiquement maltraitante. Une enfance malmenée et maltraitée, de laquelle résulte des troubles psychiatriques. Mais tout n'est pas noir, puisque j'ai trouvé ma lumière !

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  • Eh oui, l'idée flottait dans ma tête depuis plusieurs années, j'ai enfin sauté le pas !

    Retrouvez les éléments principaux du procès, l'historique familial et psychiatrique de Luka Magnotta ainsi que les mystères qui planent sur Internet, dans ce livre de 122 pages.

    Rendez-vous sur Lulu.com

     

     

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